Tout comme les hommes, les femmes pratiquent le sport à très haut niveau. Mais faut bien l’avouer, c’est terriblement difficile pour ces femmes courageuses et tout et tout - et pourtant si fragiles.
Julien, qui est un sportif en chambre, privilégie les épreuves féminines.
Il aime les fesses des femmes sur leur vélo de course.
Il se trémousse à la vue des cavalières qui se dandinent sur leurs montures.
Mais Julien souffre. Il se complait dans un masochisme jubilatoire. Il a mal avec les top model catcheuses. Il reçoit et encaisse les coups en même temps que les belles boxeuses dont le visage semble sortir d’une opération post-réparatrice.
Pourtant, l’autre jour, il s’est surpris à crier au massacre.
« Arrêtez, arrêtez, vous n’entendez pas les cris de cette pauvre tenniswoman au seuil de la mort ? »
- « Mais, mon chéri », lui dit sa compagne, « tu n’y es pas. Ça ne te rappelle pas nos ébats, certes rares, mais si jouissifs ?... »