D, c’est doux, c’est douze.
Le D est dodu et il aime ça.
« Je me nomme D »,
dit D, « mais appelle-moi Dédé ».
Dédé joue aux dés et prend régulièrement
des « dégelées », des « démerdées ».
« Dors, dors, mon Dédé »,
chante Doris, la nounou dévouée à Dédé.
Sur l’île Maurice, les dodos se cachent tellement bien
qu’on les voit plus, ils ont disparu.
Pauvres dodos, s’il vous plait,
réapparaissez avant que je ne disparaisse,
moi, pour toujours.
Darius dit à Dodo :
« Mon pauvre Dominique, toi aussi tu déprimes ? »
Et Dodo de répondre :
« Depuis deux jours qu’on ne parle plus de moi,
il y a de quoi douter. »
D donne les départs mais ne rejoint jamais l’A(rrivée).
Dommage !