Il ne voulait être ni catholique, ni protestant, ni juif, ni musulman, ni…

Il ne voulait croire en aucun dieu qui, selon lui, était inventé par les hommes.

Il n’était ni blanc, ni jaune, ni noir, ni…

Il refusait que l’on fasse état de sa taille, de la couleur de ses yeux ou de ses cheveux.

Il avait essayé d’apprendre l’espéranto sans y parvenir.

Il s’accouplait indifféremment avec la femme ou l’homme.

Il refusait tout ennemi et se déclarait volontiers « citoyen du monde ».

Il voulait être respecté en tant qu’être humain, un et unique.

Il devint transparent et personne ne le revit.

Il y a quelque jours, c'était l'annonce de la prochaine parution (http://gabbymarchand.blogspirit.com/archive/2015/10/04/en-avant-premiere-3057203.html)

Maintenant, le double album "Gabby Marchand chante Jean Cuttat" est paru chez CVW DISQUES OFFICE S.A.

 Rte de L'industrie 13 
 CH -1754 Rosé 
 

Pour envoyer un mail: office@disquesoffice.ch
Le site de DISQUE OFFICE: www.disquesoffice.ch

Il est aussi disponible en Suisse dans les FNAC et Media markt

Et on peut le télécharger sur iTunes.

« Non, non, non et non ! » dit la femme. « Je t’ai déjà dit que je ne voulais pas de ça chez moi.
- Tu pourrais dire chez nous », répliqua l’homme, agacé.

Trois semaines plus tard, le petit chat était toujours là.

« Non, non, non et non ! » dit la femme. « Je n’irai pas avec toi chez ces sauvages.
- Tu pourrais quand même être un peu plus polie avec ces gens, même s’il ne vivent pas comme nous ! »

Trois semaines plus tard, la soirée diapositives de leur voyage au Sénégal faisait la fierté de Madame ma voisine du dessous.

« Alors quoi ? », ai-je demandé un jour à mon voisin, « comment faites-vous avec une femme qui dit toujours non, non, non et non ?
-  Ah, vous savez bien » dit le voisin avec un sourire malicieux, « quand les femmes disent non, ça veut toujours dire oui ».

Et maintenant, il y a une entrée "Gabby Marchand" dans Wikipedia:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gabby_Marchand

Nozon était le simplet, le « toquelet »… l’idiot du village.

Les gens du village disaient avec tendresse : «Il est simple ».

Nozon tendait sa main à tout le monde : « Bonjour madame ! Bonjour monsieur ! Bonjour mademoiselle ! 

Quand quelqu’un d’étranger au village hésitait à lui rendre la réciprocité, il se figeait, regardait l’autre droit dans les yeux et insistait : « J’ai dit bonjour ! Tu dois dire bonjour à Nozon. Nozon, il est gentil ! Il dit bonjour !»

Jamais personne ne l’avait entendu dire bonsoir. « Et pourquoi ? » demanda une étrangère qui passait par là. « Oh ! Le soir, le Nozon, il est couché en même temps que les poules » lui répondit-on avec un petit sourire qui en disait long.